Devant les crimes et les horreurs, les mots ne suffisent pas.La langue, n’importe quelle langue, nous trahit. Le silence devient, inévitablement, un moyen et un signe de consternation. Un moyen d'expression aussi.
En conséquence, ne pas reprocher ou déplorer le "silence" par ce qu’en réalité le silence ,dans ce cas,est une langue,un langage.
Ne pas déplorer nos "erreurs" quand on parle, parce que, dans cet archipel de la terreur,la diabolisation et la diversion sont des sœurs de l'horreur. Ils vont en ensemble et en paralléle.