En l'esapce d'une année ou moins on constate l'émission pour la première fois d'un billet de banque de 2000 dinars et une pièce de monnaie métallique de 200 dinars. Cette pièce de 200 dinars n'a pas seulement l'apparence des deux piéces de monnaie de 20 dinars ou de 50 dinars,déja existantes, mais elle donne aussi l'impression ou le sentiment qu'elle en a la même valeur. C'est un signe de la dévaluation du dinar.
Ce sentiment est conforté par des informations rapportées cette semaine par la presse algérienne révélant que l'inflation en Algérie a atteint un taux allant de 7 % selon certains titres jusqu'à 9 % selon d'autres. Il est à noter que l'inflation signifie augmentation des prix. Et ça se voit chaque jour sur le marché.
Avec l'état actuelle des choses on constate que le pouvoir maintient toujours son séquestre sur les dettes(deuxième tranche) qu'il doit au travailleurs algériens, parmi eux ceux de l'éducation national. Bien sur les justifications à cette injustice flagrante qui dure depuis plus de quatre années et demi (et non pas depuis quelques mois comme écrit dans un précédent article) ne manquent pas aux autorités.
Toute crise économique ou d'une autre nature découle de mauvais choix et de décisions politiques prises par les décideurs du pays concerné .La crise économique en Algérie(si crise il y a)n'est et ne serait que le résultat de choix et décisions politiques obstinés (puisque elles datent et durent depuis 50 ans)de mettre tous les œufs du sub-continent algérien dans un seul panier ; celui des exportations des hydrocarbures et ,en parallèle,de ruiner l'agriculture et le tourisme (pour ne citer que ces deux secteurs).Les travailleurs et le payement du fruit de leurs sueurs et leurs souffrances n'y sont et n 'y seront pour rien.
Ce délai de justice n'est que déni de justice.Jusqu'à quand !?!.